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Le conseil municipal de la Ville de Longueuil a approuvé aujourd’hui une aide financière totalisant 100 000 $ afin de soutenir 12 organismes locaux qui éprouvent des difficultés financières majeures liées à la COVID-19 mettant en péril le maintien de leur offre de services et leur survie. Dans ce contexte, plusieurs organismes locataires n’ont pas été en mesure de faire leurs paiements de loyers et d’autres qui sont propriétaires de leurs espaces n’ont pu faire leurs paiements hypothécaires ou ont été privés de revenus de location de salles.
« La pandémie a eu un impact économique important pour nos citoyens, les entreprises de notre territoire, pour la Ville, mais aussi pour les organismes qui offrent des services importants à notre population. Certains organismes n’ayant pas pu se qualifier pour recevoir un financement en vertu des différents programmes de subvention, la Ville leur versera une aide financière d’urgence pour leur venir en aide au cours des prochains mois », souligne la mairesse de Longueuil, Sylvie Parent.
Voici la liste des 12 organismes bénéficiaires ainsi que le montant de l’aide financière qu’il leur sera remis par la Ville :
Nom de l’organisme |
Montant de la subvention |
Chevaliers de Colomb # 3967 |
3 200 $ |
Club de soccer de Saint-Hubert |
6 400 $ |
Foyer Saint-Antoine |
15 000 $ |
Groupe scout de Longueuil |
12 000 $ |
Groupe scout de Saint-Hubert |
24 700 $ |
La Compagnie des philosophes |
1 700 $ |
Les Barbaparents |
6 700 $ |
Métiers et traditions |
4 100 $ |
Nos voix Nos visages |
9 100 $ |
Pro-Voc |
9 100 $ |
Théâtre Motus |
4 000 $ |
Zocalo |
4 000 $ |
Le contexte de la pandémie a fragilisé bon nombre d’organismes tant sur le plan des ressources humaines salariées ou bénévoles que sur le plan de leurs ressources financières. Au cœur de la deuxième vague, bien que plusieurs d’entre eux aient pu bénéficier de fonds d’urgence, il en est resté encore un grand nombre qui n’a pas pu se qualifier pour recevoir un financement en lien avec les différents programmes. Cela s’explique, d’une part, parce que certains secteurs d’intervention n’ont pas été considérés comme étant prioritaires par les bailleurs de fonds, et, d’autre part, parce que les demandes de comblement de perte des revenus d’autofinancement n’ont pas été jugées comme étant admissibles dans la plupart des fonds d’urgence.